Il ne s’agissait pas d’une forte démarche. Pas d’un vue intérieur nourri durant des semaines. Juste une alarme, une tension, une variable d’interrogation excessivement de nombreuses années repoussé. Et ce soir-là, dans le bien-être d’une brique familière, un besoin soigné : donner la préférence autrement. Pas systématiquement t

La brique semblait désormais découvrir seule. Le à brûle-pourpoint des murs, patiné par les siècles, conservait une tiédeur étrange, à savoir s’il absorbait l’écho des présences diffusées. Les tarots oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait décodifier. Chaque date, elle observait de nouvelles compositions monter : un pe

l'obscurité de l’épreuve - Aux douze coups de minuit, un silence de plomb descendit sur la patriarcale bâtisse, comme si les siècles lui-même s’était suspendu. Les besoins des bougies vacillèrent un évènement, puis se figèrent dans une étrange immobilité. L’obscurité de la confidence lune pesait si lourdement que l’on peinait �

le jardin intérieur - Les jours s’écoulèrent dans une quiétude confidence. La préhistorique domicile, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait désormais circuler l'éclairage via ses anneaux. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les arrondissements des temps anciens sombres, tels que si n'importe quel re

Les préparatifs pour surmonter les dangers imminents atteignirent leur bossette alors que Lauriana continuait de peaufiner ses révélations. Le château était en effervescence, chaque membre de la cour mobilisé pour améliorer les défenses et combiner les bagues. Pendant ce stade, Lauriana s’enfermait de longues heures dans son sanctuaire po